150 démocrates de la Chambre ont signé une lettre approuvant le plan du président élu Joe Biden de réintégrer le plan d'action global conjoint pour l'Iran (JCPOA), selon des informations.
Un groupe diversifié de représentants démocrates a soutenu la lettre, selon à l'Agence télégraphique juive. Les modérés relatifs Brad Sherman de Californie et Abigail Spanberger de Virginie ont soutenu l'effort, tout comme les libéraux Barbara Lee de Californie et Joaquin Castro du Texas. Sherman voté pour une résolution du Congrès de désapprobation de l'accord en 2015. (CONNEXES: Un démocrate de Virginie allume prétendument l'appel du caucus sur la performance électorale)
Les deux tiers des représentants et les deux tiers des sénateurs devraient soutenir une résolution de désapprobation afin d'empêcher une rentrée dans l'accord avec l'Iran, car un président Biden serait susceptible de mettre son veto à la résolution. Le grand nombre de signataires de la lettre signifie que tous les membres qui s'opposeraient à la rentrée ne pourraient pas passer outre un veto présidentiel.
Les organisations de lobbying ont réagi aux nouvelles de la lettre sur les réseaux sociaux. Le groupe de gauche J Street a tweeté avec approbation une liste des 150 signataires.
Merci aux 150 membres du Congrès qui ont signé la lettre!
Si vous voyez votre membre ici, envoyez-lui un merci d'avoir défendu la diplomatie. pic.twitter.com/hkr5zHOtvT– Rue J (@jstreetdotorg) 23 décembre 2020
B’Nai B’Rith International s’est opposé à cet effort.
Nous sommes profondément consternés par une lettre de 150 démocrates de la Chambre au président élu Biden appelant à une réintégration rapide dans l'accord nucléaire iranien. Les États-Unis ne doivent pas envisager de relâcher la pression sur l'Iran jusqu'à ce qu'ils acceptent de mettre fin à leur programme de missiles balistiques, aux violations des droits de l'homme et à l'agression régionale. pic.twitter.com/E1TjEsKl8t
– B’nai B’rith Int’l (@BnaiBrith) 24 décembre 2020
L'administration Obama est entrée dans le JCPOA malgré opposition bipartite à la Chambre des représentants. Cependant, depuis que le président Barack Obama refusé que l'accord avec l'Iran était un traité, il n'avait pas besoin de l'approbation du Sénat.
L’action unilatérale d’Obama a permis au président Donald Trump de se désister de l'accord et réimposer les sanctions par décret. Atout fabriqué l'opposition dure à l'Iran est une pièce maîtresse de sa politique étrangère.
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